Comment Patrice Jean nous poursuit
Dans La poursuite de l’idéal, Patrice Jean crée apparemment une suite aux Illusions perdues de Balzac, encore que cette poursuite soit plus mélancolique et sombre que ne l’était le roman écrit entre 1837 et 1843. Mais Jean n’écrit ni une postface, ni un commentaire, ni une redite. Son œuvre est désertion puisque « l’espèce n’aime pas les déserteurs » : désertion de la sottise plane et dure comme un rouleau à pâtisseries qui étale les tourtes d’imbécillité épaisse de l’époque. Son héros –…