La littérature ni au Candy shop ni aux fraises
La littérature est menaçante, puisqu’elle ne dit rien de l’actualité éternisée que les éternuements journalistiques, sociologiques et politiques affadissent encore, mais tout de l’humano-divinité de l’homme pour reprendre l’expression de Berdiaev. Dans Kafka au Candy shop, Patrice Jean encense la littérature, son mode singulier de dire ce qui est et surtout ce qui n’est pas visible, en prenant prétexte des propos d’une débile sur les raisons qui lui font détester La Métamorphose de l’écrivain tchèque. Post Views: 11