Pourquoi faut-il lire un roman d’écrivain plutôt que rien ? En route avec Patrice Jean (La vie des spectres)
La plupart des romans ne tiennent pas la page. On dirait des glaviots sous la pluie : on ne les lit pas, on les dresse sur des « nappes qui tombent en miettes par-dessus les balcons » avec lesquelles un rat finira de s’étouffer au fond d’un cloaque. Les romanciers ont laissé leurs anecdotes et leurs péripéties au crédit municipal et ils récupèrent leur fourbi en publiant n’importe quoi. Post Views: 49