Agnès Thurnauer, L’amour de la peinture, notes d’atelier
La radicale Dès le début de ce livre, Agnès Thurnauer met les pendules à l’heure : « Quand je serai morte je ne veux pas qu’on lègue mon corps à la science. Je veux qu’on lègue mon corps à la peinture. Dissolvez-moi. Je souhaite être dissoute en peinture. » A ce titre et d’une certaine façon, elle a déjà tout préparé : poudre et pigment et liant et tempera. Mais elle n’y sera pas enterrée car elle préfère être posée entre deux…