Thomas de Quincey de quinconce
Quand on ne connaît rien à la physique quantique, on pense que la littérature est importante. À chaque fois que je termine un livre, je me replonge dans les théories de Georges Lemaître afin de ne pas perdre de vue la manière de véritablement perdre pied. C’est ce que j’aime chez Thomas de Quincey, cette ironie acide qui fait de ses livres des bleus et des horions alors qu’une ironie alcaline rosit les œuvres. Au fond, tout revient à cultiver…