Les Frères Karamazov (Fédor Dostoïevski / Sylvain Creuzevault)
Métaphysique de la bouffonnerie (ou inversement) L’histoire des trois frères est projetée en lettres graffiti sur l’écran devant lequel se tient un personnage immobile, en front de scène. Le tableau de leur dépendance/répulsion à l’égard de la figure de leur père est rapidement dressé. Les lettres en viennent à se superposer, à se brouiller quand le tempo de la musique se fait plus incisif, sa tonalité plus aiguë. Post Views: 45