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Tag: Valère Novarina

Egard ne ment

Egard ne ment

Hommage à Novarina et Prigent Valère Novarina et Christian Prigent pour cacher leur vie intime et leurs jadis fautes sexuelles sont entrés au grand séminaire de la littérature tueuse des mères (de vinaigre). Pour éviter le massacre voire sauver leur peau ils ont inventé leur bene-dictions.Parfois, c’est du quasi Artaud en laçant leurs nœuds au sein même de la langue maternelle. Merde alors !, ont-ils pensé mais ils s’en servent en complice parfois quelque peu obscène mais sans le moindre…

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Cas cendres – Novarina

Cas cendres – Novarina

Pour Novarina Dans l’alphabet en vermicelle, la poésie braconne. Elle attrape chez ses ancêtres ceux qui, de leurs vieux neurones, charpentaient au Chablis la douteuse conscience à l’usage d’intranquillité. Et le nouveau germain poète devint émigré de lui-même. Post Views: 49

Valère Novarina, Les personnages de la pensée

Valère Novarina, Les personnages de la pensée

Le langage de la chair Avec sa pièce Les Personnages de la pensée, Novarina pénètre à nouveau dans notre grotte, celle des soubassements du langage pour le creuser, en explorer les galeries et dit-il « ouvrir l’espace des mots pour y découvrir des cavernes insoupçonnées. » Post Views: 36

Les personnages de la pensée (Valère Novarina)

Les personnages de la pensée (Valère Novarina)

Sacraliser la parole et/ou démythifier le langage Une pierre, une mobylette, quelques formes géométriques donnent occasion d’entonner une parodie de la Genèse. Des proférations donnent lieu à des formulations baroques dont la fonction semble être phatique et apophantique. On assiste à de nombreuses énumérations ; chacune ouvre sur des injonctions présentées comme inopinées, pondérées, amusantes, saillantes ou pesantes.  Post Views: 68

Cingria, Album – L’extincteur et l’incendiaire

Cingria, Album – L’extincteur et l’incendiaire

La fécondité du désordre Valère Novarina consacre le plus beau des hommages au primitif perfectionné, pratiquant de « l’épinette et écrivain au XXe siècle d’un traité sur la lecture des neumes, qu’il imaginait iodés et proches des chants de halage et qui fit l’éloge du latin monacal, de l’art roman rupestre, et de la selle Brooks du vélo avec lequel il faisait de la contrebande de kirsch ». Post Views: 42