Tout est bien qui finit bien (Shakespeare/Pierre Beffeyte)
Le ridicule confine à la bouffonnerie généralisée Le décor est constitué de quelques meubles de styles classiques hétérogènes (Louis XV, Louis XVI) placés devant des toiles comportant des mises en perspective en trompe-l’œil. Dès les premières scènes, les acteurs viennent jeter leur répliques en les agrémentant de force mimiques, plaisanteries débridées. Des détails de costumes ou d’éléments de décoration (notamment d’échelle inadaptée) soulignent l’intention satirique du metteur en scène, qui tourne délibérément les dialogues en pitreries. Ses insertions dans le…