Gérard Macé,Odalisques et violon d’Ingres
Le spectacle et son double Par glissements, Gérard Macé entraîne le discours vers une convulsion. Elle pousse le lecteur et le regardeur en un (profitable) désarroi. En effet, un tel texte oblige à vivre sans vérité puisque tout se penche jusque là où le violon d’Ingres en perd ses cordes. Dès lors, ce que l’auteur évoque quitte le théâtre baroque pour un spectacle classique. Il y a donc un double jeu : la tension des photographies coupe la parole aux…