Luc Bénazet, Métamorphiques
L’as studieux Rien de tel – afin d’initier des métamorphose -que de commencer, dès la partie 1, « parlafin ». Ce qui n’empêche pas – bien au contraire – «laprogression » dans une sorte de maelstrom topo-morphique poétique en un jeu de répétitions et de variations afin de créer des « durations » inventées en musique par Morton Feklman. Et ce, pour éviter le chaos et d’abord quitter « lornière ». C’est très malin afin d’éviter toute conférence poétique. Elle est remplacée…