Jacqueline Devreux, J’aurai ta peau
L’autre en elle Les femmes de Jacqueline Devreux échappent au morcellement. Elles « involuent » plus qu’elles évoluent, lutinent ce qui malverse, s’amusent, bottent le zig dans le zag.. Mais rien ne sera vraiment « donné » à l’image. Et cela, au nom d’un mal vu (c’est à dire bien) pas pris. Le corps devient la geste du réel au sein d’une entente tacite entre l’artiste et son modèle. C’est un crumble à deux : rhum et cannelle. Ou, si…