Gilbert Keith Chesterton, L’œil d’Apollon
Un huitième volume bien étranger au fantastique, mais par lequel on comprend pourquoi Chesterton fut tant apprécié de Borges Si le volume précédent de « La Bibliothèque de Babel », signé Jack London, étonnait par sa faible coloration fantastique, celui-ci étonnera davantage encore car aucun des textes qui le composent ne peuvent prétendre à cette étiquette. Ce sont en revanche de petits joyaux de nouvelles policières, très fortement teintées d’humour et que l’on peut sans trop de crainte qualifier de parodies. La…