Archives de
Tag: collage

Justine Kurland, SCUMB Manifesto

Justine Kurland, SCUMB Manifesto

Sous le fil du rasoir SCUMB Manifesto présente l’initiative sans compromis de la photographe Justine Kurland de la Society for Cutting Up Men’s Books. Ce volume offre une collection de collages que l’artiste a créés en découpant et en reconfigurant des livres de photos d’artistes masculins, qui ont monopolisé le canon photographique des hétérosexuels. Post Views: 73

Michèle Divoy, Poisson-chatte (exposition)

Michèle Divoy, Poisson-chatte (exposition)

Quand miaulent les sirènes Enfin décidée de sortir de son mutisme visuel, et après une exposition en Belgique, Michèle Divoy propose à Sète un cinq à sept qui n’a rien d’ascète – tant s’en faut. Les belles de cas X des collages de l’artiste ne sont pas là pour noyer le poisson de l’érotisme, non qu’elles nagent en mers troubles mais elles préfèrent et de loin des histoires d’O. Post Views: 73

Mylène Vignon, Les belles canapéennes

Mylène Vignon, Les belles canapéennes

Sur-vivance Plasticienne, poétesse, Mylène Vignon a composé les collages et didascalies des belles Canapéennes à la suite des confinements. C’est là un récit magique d’images et de mots imprégnés de songes, de réminiscences. La créatrice y réunit des corps érotisés mais leur dehors fait le jeu de diverses intimités. Post Views: 38

Michèle Divoy, La vie en Rosse (exposition)

Michèle Divoy, La vie en Rosse (exposition)

L’incognito et le secret Voici enfin l’exposition que nous attendions depuis très et trop longtemps. Michèle Divoy est en effet une collagiste belge d’exception, dont le plus grand défaut est de ne jamais montrer son travail. Elle ignore tout des prurits de l’ego et préfère vivre sa vie à partir de Liège et de sa Rue sous l’eau. Post Views: 57

Francine Flandrin, Quand je fais mon Lavier BDSM

Francine Flandrin, Quand je fais mon Lavier BDSM

Exercices de frivolité Francine Flandrin est une iconoclaste. Elle met du leurre dans le leurre comme du beurre dans les épinards et de la perversité dans les poses lascives de gravures obscènes ou plutôt légères (du XVIIIème au milieu de XXème siècles). Post Views: 63