Porche rit

Porche rit

En as, nous déplaçons les sas sur la pointe de nos doigts. Ils deviennent surexposés, en cavalcades du quoi du comment. Nous cavalons loin des âges et des arcades. C’est le passage de la terre à la mer par de tels radeaux en la dérive des continents.
Nous sommes bientôt légendes sur les vagues et les siphons dans le brouillard ou la fumée des ronds de nos pipes. Nous ne choisissons ni cap ou peuplade. La mer ouvre jusqu’au lieu où le soir se balanceront les cytises d’Oléron.

Nous y serons décisifs et archaïques d’une civilisation dont on ne sait rien sinon celle dont nous connaissons du grotesque la question.

jean-paul gavard-perret

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