Du stoïcisme à l’hédonisme : entretien avec Stéphane Gauthron (« Ainsi l’eau monte »)
Par son imaginaire polysémique, Stéphane Gauthron fait bouger bien des lignes. Elles se transforment en vagues à mesure que « l’eau monte ». Y grouillent des ombres qui ne cessent d’évoquer une certaine violence du monde. Toutefois perdure le nécessaire amour – dont Alice Miller a donné toute l’importance. Il innerve la poésie de l’auteur. Il casse l’indifférence par la sensibilité qui jaillit de mots césures entre le familier et l’étrange, le masculin et le féminin, le passé et ce qui peut…