Olivier Barbarant, Séculaires
Dans Séculaires, Olivier Barbarant poursuit ce qu’on ne capture jamais. Il est des poètes dont on se sent proche sans savoir pourquoi. Ainsi, je n’ai jamais réussi à lire Henri Michaux malgré les demandes de l’ami Friche pour avoir un papier. Pourtant, je suis proche de Maximilien Friche et j’en connais parfaitement les causes : il n’y en a pas. La plupart des « proximités littéraires » sont des contes à dormir debout qui consistent en un « fonctionnement feutré maintenant l’être dans l’être,…