Jean-Luc Parant, Soleil double, Le lisible, l’illisible
Traduire par le regard Soleil double est composé de deux parties « soeurs » : Le lisible et L’illisible. Chacune est formée de 9514 mots. Le premier texte est celui du vrai « je », l’autre son image dans le miroir. Si bien que dans le second moment le « je » n’est plus – sinon en écran. Pour jointoyer ces deux temps, le dernier paragraphe du premier volume devient le premier paragraphe du second : « Cette unique phrase répétée est le sommet d’une montagne gravie…