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Tag: Nathalie Quintane

Nathalie Quintane, Tout va bien se passer

Nathalie Quintane, Tout va bien se passer

Aspirateurs et argenterie Nathalie Quintane aime nous frictionner au gant de crin des cauchemars comme aux onguents des rêves. La narratrice et son amie nous projettent avec drôlerie dans l’Histoire et une forme d’espace météorologique. Paris en est le fond de tarte. S’y découvre des espaces inattendus, palais de l’Elysée compris avec ses sbires,  pièces et son jardin. Post Views: 102

Nathalie Quintane, Un embarras de pensée

Nathalie Quintane, Un embarras de pensée

Ecarts Ce livre de Nathalie Quintane expose un de ses « outils obliques » par l’entremise de l’oeuvre d’Alain Rivière. Ce dernier refuse la posture d’artiste, ce qui excite l’écriture et l’humour de celle qui reste sur le fil de la littérature. Entre son œuvre et celle du plasticien existent bien des connivences et des croisements. Post Views: 35

Nathalie Quintane, J’adore apprendre plein de choses

Nathalie Quintane, J’adore apprendre plein de choses

La désagrégation de l’Education nationale Déroutant, sous des dehors comiques, ce livre est cruel pour l’institution scolaire. Il complète Un hamster à l’école (La Fabrique) et La cavalière (P.O.L.) sur le même sujet. Seul ce dernier fut un projet à part entière dès l’origine. Les deux autres ont longtemps été confondus sous formes de fragments écrits sans objectif précis avant que l’auteure les orchestre. Post Views: 52

Nathalie Quintane, La Cavalière

Nathalie Quintane, La Cavalière

Les implications de la fiction Nathalie Quintane brouille les cartes en précisant : dans ce livre « je ne m’occupe pas de fiction ». Manière pour elle de refuser ce qui serait du domaine de l’imaginaire au profit du réel. C’est la manière d’éliminer toute gratuité spéculative pour recomposer le réel par ce qui seul dans la littérature compte : l’écriture et les dispositifs formels qu’elle travaille. Post Views: 61

Nathalie Quintane, Un œil en moins & Leslie Kaplan, Mai 68, le chaos peut être un chantier

Nathalie Quintane, Un œil en moins & Leslie Kaplan, Mai 68, le chaos peut être un chantier

Un espoir demeure Deux livres paraissent en même temps chez P.O.L pour décrire ou plutôt évoquer deux états d’urgence. Leslie Kaplan « fête » Mai 68 qui avait ouvert quelques années plus tard son œuvre avec L’excès – L’usine. Nathalie Quintane évoque l’épisode « Nuits debout » : ponctuellement celles de Paris mais surtout celles d’une petite ville de province. Réunissant seulement quelques dizaines de participants, cette vision par un petit bout de la lorgnette décante bien des postures et…

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