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Tag: Mémoires

Quand Saint-Simon rencontre J.G. Ballard

Quand Saint-Simon rencontre J.G. Ballard

En littérature, le temps n’existe pas : il n’y a pas de durée, presque pas de chronomètre personnel. Le temps n’est qu’un hommage rendu à notre paresse. En littérature, tout est contemporain, c’est-à-dire sans date. Il n’y a pas d’ordre d’apparition en dépit des à peu près propos des mille-pattes académiques qui pensent qu’il y a toujours un pas qui précède l’autre, incapables qu’ils sont d’envisager la simultanéité : ils squattent, désœuvrés, l’éternité actualisée, une manière de lésine de minutes écoulées…

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Fouad El Etr, L’escalier de la rue de Seine

Fouad El Etr, L’escalier de la rue de Seine

Deux amis Né à Alexan­drie, d’origine liba­naise, Fouad El-Etr fut élevé dans trois langues : fran­çaise, anglaise, arabe. Il s’est fait connaître en France grâce aux édi­tions La Déli­rante qu’il créa en 1967, consa­crées aux poètes et peintres : Yeats, Shel­ley, Dante, Bal­thus, Botero, etc.. Il est le traducteur de ceux-ci comme aussi de Bashô, Buson, Cavalcanti, Synge et Yeats. Après des recueils de poé­sie essen­tiels tels que Comme une pieuvre que son encre efface, Iras­cible Silence, Là où finit…

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Collectif, Toi, ma mère

Collectif, Toi, ma mère

« Pour dire au tréfonds de ma pensée l’image de ma mère » L‘image de bien des mères s’ouvre. Celles-ci restent pour toujours visibles et salvatrices par les voix d’écrivaines francophones qui donnent leur propre version de leur mère portée parfois sous leurs peaux d’acier trempé. Post Views: 79

Ella Balaert, De plume et d’ailes

Ella Balaert, De plume et d’ailes

Le multiple et l’une Ella Balaert se transforme ici en ironie et humour afin de produire une forme de ses mémoires de 30 années. En choisissant le format de l’abécédaire, l’auteure revient avec brillance sur son identité faite de pseudos qui peu ou prou restent quelquefois contrariés avec intelligence. Post Views: 53

Anne Létoré, Il fait trop chaud pour se tenir la main

Anne Létoré, Il fait trop chaud pour se tenir la main

La curée J’aime l’écriture d’Anne Létoré. Maîtresse femme de la poésie, elle manie la langue avec ironie, impertinence tout en cultivant douceur et alacrité. Elle invente des « images » pour imager comme « une une vaste soierie transparente, accrochée à une corde à linge, valsant sous un vent étésien, rafraîchissant et aérien ». Post Views: 65