Lucrèce Luciani, Braise Noire
Virgin suicide De La petite-fille-aux-feuilles-mortes du photographe Edouard Boubat à la fillette grandissant dans la beauté somptueuse marocaine, Lucrèce Luciani écrit à nouveau, l’enfance, la sienne, en couleurs. Cela commence par la fin, par le suicide qui « fait rebrousser chemin » comme l’écrit Antonin Artaud, en épigraphe du texte. Une adolescente de seize ans aux yeux d’azur en H.P. La psychiatrie sûre d’elle-même qui assomme de neuroleptiques, qui emprisonne dans la chambre forte, qui invite à jouer au ping-pong alors que…