Jacques Cauda, Le Pantalon ivre
Le monde et le pantalon Cauda propose ici la femme-portrait d’un bovarysme où la trique remplace le spleen. Elle pompe et gicle sans jamais se retirer des paradis intimes de celle qui, du haut de ses vingt ans, offre au poète un rajeunissement. Il suffit qu’elle s’allonge et ne soit habillée que d’enivrante lumière. S’invente – en rencontre des mots et images – une vie à l’envers où, armé d’un « clystère si démon », le poète soigne celle qui, malade ou…