Joël Vernet, Copeaux du dehors
Le voyageur Errant pas excellence, Vernet fait un art de sa contemplation infatigable. D’autant que chez lui agit comme un rabot. Ses textes, fragments d’esprit, deviennent des « copeaux » enlevés du dehors pour nourrir sa maison de l’être. Tour se passe ici comme s’il n’y avait plus de paroles à proférer : « Je peux et sais enfin me taire. Je puise l’encre dans le dernier silence. Désormais, le Dehors est un soleil écrivant tous les livres à ma place. » Celui-ci est…