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Tag: Jean-Pierre Sergent

Jean-Pierre Sergent, Polyphonies : arts, cultures & civilisations (exposition)

Jean-Pierre Sergent, Polyphonies : arts, cultures & civilisations (exposition)

Du passé au futur Prenant comme sorte d’incipit à son exposition la phrase de Hermann Hesse : »Quand vous détestez une personne, vous détestez quelque chose en elle qui fait partie de vous-même. Ce qui ne fait pas partie de nous-même ne nous dérange pas. », Jean-Pierre Sergent crée depuis ses œuvres réalisées à New York, après ses voyages mexicains et l’attentat du 11 septembre 2001, une énergie et ajoute-t-il « une violence esthétique, karmique, sexuelle ». Post Views: 32

Jean-Pierre Sergent, Les quatre piliers du ciel (exposition)

Jean-Pierre Sergent, Les quatre piliers du ciel (exposition)

La nudité de l’art  Sortant des pensées monothéistes à l’occidentale, Jean-Pierre Sergent opte pour une forme de don comparable à celui de la matrice féminine. Elle est dans l’œuvre de plus en plus importante au moment où, science aidant, certains rêvent de la remplacer par la « matrix » comme ils rêvent aussi à une nouvelle évolution de la procréation. Post Views: 37

Entretien avec le peintre franco-américain Jean-Pierre Sergent

Entretien avec le peintre franco-américain Jean-Pierre Sergent

 Lire notre article sur l’exposition, de l’artiste,  Sex and rituals Lelitteraire.com : qu’est-ce qui vous fait lever le matin ? Jean-Pierre Sergent : Le soleil et le travail. Que sont devenus vos rêves d’enfant ? Je n’ai jamais vraiment eu de rêve du style : « Je veux devenir artiste peintre ! » Ce sont plutôt des évidences et des nécessités impérieuses qui ce sont imposées à moi par les coïncidences de la vie et ma grande conviction créatrice, ma force de travail…

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Jean-Pierre Sergent, Sex and rituals (exposition)

Jean-Pierre Sergent, Sex and rituals (exposition)

Jean-Pierre Sergent : vie secrète Lire notre entretien avec l’artiste Les œuvres de Jean-Pierre Sergent sont des zones de fouilles capables d’atteindre le vortex de la machinerie de l’être par le réel et sa transfiguration. Reprenant Bataille et la supplique infernale de sa Madame Edwarda intimant à son client de contempler son sexe (« Regarde car c’est ton dieu »), l’artiste montre l’importance de cette figuration. L’ordre féminin est celui de la régénérescence comme celui du chaos. Bref, le lieu où tout commence. Pour…

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