Naho Mizuki, Matsuo Bashô. Le maître du haïku
L’étroit chemin du fond De facture classique sur la forme, si on laisse de côté les pages 11 à 22 pertinemment traitées en couleur pour mettre en exergue une certaine rupture, ce manga de Naho Mizuki traduit en français – et qui se lit de façon occidentale de gauche à droite, notons-le – présente le poète pèlerin Matsuo Bashô (1644-1694) tenu pour le plus grand poète japonais. Maître reconnu du haïku, c’est lui qui initia cette forme minimaliste de poésie…