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Tag: Véronique Bergen

Véronique Bergen, Clandestine

Véronique Bergen, Clandestine

Bondage et autres folies coutumières : des enfers au Paradis Le corps nu de la narratrice en exhibition impose en théorie le silence. Mais de fait, c’est bien le contraire. Car si ses paroles chutent de ses lèvres, elles embrochent un seul astre qui la musèle sans rompre ce spectacle-roman. « L’animalité du silence » chérit donc autant l’exhibition que des photographies induites par l’écriture intime. Post Views: 43

Véronique Bergen, Les danses de Roberto Succo

Véronique Bergen, Les danses de Roberto Succo

L’ange noir du désir « L’éclat du soleil me dissimule le visage de l’homme qui me lance sa tirade en caressant son chien. » (V. B.) Il existe deux façons de lire de telles chorégraphies d’orages : à savoir, comme un voyage dans Bruxelles ou une dérive urbaine (sauf à la fin) en compagnie d’un tueur. Pas n’importe lequel : celui qu’avait déjà théâtralisé Bernard-Marie Koltès et que Véronique Bergen remet en scène du haut de ses cuissardes pour nous accompagner telle…

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Helena Belzer & Véronique Bergen, Avant, pendant et après

Helena Belzer & Véronique Bergen, Avant, pendant et après

L’infatigable officiante Véronique Bergen ose se laisser aller ici à un lyrisme particulier pour évoquer tout ce qu’elle ressent face au travail d’Helena Belzer. Ce lyrisme n’est pas conçu de folles envolées mais accorde des points d’ancrage au cours, à l’avancée et à la puissance de cette oeuvre. Post Views: 94

Véronique Bergen, Premieres fois

Véronique Bergen, Premieres fois

Le début de la faim L’amour et son corollaire  érotique engendre souvent une consommation effrénée d’un(e) seul(e) partenaire. Or, cette pratique usuelle est comme celle de  la drogue : à mesure qu’on en abuse, ses effets s’amenuisent. D’où le programme que propose la narratrice : la multiplication exclusive (ou presque) des premières fois. Post Views: 94

Véronique Bergen, Guido Crepax, L’axiome d’eros

Véronique Bergen, Guido Crepax, L’axiome d’eros

Le langage visuel et l’exercice de la jouissance Grand maître de la bande dessinée, le Milanais Guido Crepax occupe une place centrale mais tout autant singulière. Les révolutions graphiques et narratives qu’il met au point dans la seconde moitié du XXème siècle et qu’il ne cesse de relancer par la suite se cristallisent au travers de son personnage mythique ,Valentina. Post Views: 61