Maria Postu, Les enfants de la fleur de chardon
D’entre les la(r)mes, l’innocence Puisque les enfants sont de la fleur de chardon, la poésie en prose ou en vers devient douloureuse et « pansive ». Maria Postu en délivre, pour guérir de tout, une errance rare mais aussi son sommaire de l’existence. Parfois, dans la robe qu’elle revêt – celle de l’humilité plus que l’humanité -, la poète sait que sa couleur est rouge. Post Views: 5