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Tag: Regis Debray

Régis Debray, Où de vivants piliers

Régis Debray, Où de vivants piliers

Une typologie littéraire Avec un titre emprunté aux Fleurs du mal, Régis Debray propose sous forme d’abécédaire et loin des clapotis du quotidiens ses vivants piliers et les éveilleurs qui l’ont fait grandir même s’il caresse et finit son livre sur ses « obsolescences » . Post Views: 38

Régis Debray, L’exil à domicile

Régis Debray, L’exil à domicile

Avec le temps Les méditations autour de sa chambre prouvent toute la sagesse – âge venant – de Régis Debray. Il ne cherche plus le vrai mais « l’ironie qui sert à quelque chose » (Bachelard). Il devient un nouveau Socrate dans sa conversation avec lui-même mais pous nous mettre sur la voie d’un savoir qui éloigne des certitudes passées. Post Views: 37

Régis Debray, Le siècle vert

Régis Debray, Le siècle vert

Contre le vert trop vertueux Pour Debray, l’esprit des lois reste une belle idée afin de mettre à mal le catastrophisme que prêchent les écologistes les plus durs. L’auteur veut croire moins en l’homme qu’en une « naissante féminitude » qui donnerait à l’humanisme ou à l’humanité une puissance de transformation contre notre façon de tuer la vie, afin – et à l’inverse – d’enfin la protéger. Post Views: 39

Régis Debray, Civilisation

Régis Debray, Civilisation

Hégémonie culturelle Quand une civilisation a-t-elle gagné ? Quand le particulier devient l’universel, dira le philosophe. Quand la domination devient l’hégémonie, dira le sociologue. Plus simplement : « quand il n’y a plus lieu de discuter, et qu’un livre comme celui-ci a quelque chose d’un peu suspect », suggère Régis Debray. L’ouvrage formule, non pas la critique, mais le constat, de l’hégémonie culturelle en France de l’Amérique, qui « désigne ici moins un Etat et un territoire qu’une certaine forme de civilisation». Post Views:…

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Régis Debray, Civilisation – Comment nous sommes devenus Américains

Régis Debray, Civilisation – Comment nous sommes devenus Américains

A bout de souffle Régis Debray évoque – avec une verve ironique de plus en plus roborative – la feinte d’incarnation de la civilisation que la France prétend encore jouer. Comme bien des pays, elle est devenue depuis les deux guerres mondiales le clone de la civilisation nord-américaine. Avec d’autres pays elle a contribué à construire celle qui en a eue raison. Qu’on se souvienne par exemple comment la peinture au milieu du siècle dernier quitta l’Europe pour le nouveau…

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