Sandrine Collette, Il reste la poussière
Il faut saluer une réussite romanesque de plus Sandrine Collette installe un huis clos oppressant, au cœur d’une région aride, balayée par les vents glacés de la Cordillère, avec ces cinq personnages qui se haïssent ou qui, a minima, sont indifférents aux autres. L’auteur continue à explorer les tréfonds d’individus placés dans des situations de survie, dans des conditions extrêmes où les perceptions, les émotions sont portées au paroxysme. Post Views: 47