Regina DeLuise, The Hands of My Friends

Amours ita­liennes

Regina DeLuise est Italo-Américaine. Mais elle res­sent un lien pro­fond avec l’Italie qui reste pour elle sa patrie. Et dans son œuvre, de nom­breuses images en sont réa­li­sées.
Ce livre est sa pre­mière mono­gra­phie . L’artiste est tou­jours atti­rée par l’ineffable. Elle tra­vaille avec une chambre grand for­mat 8×10 afin d’explorer les com­plexi­tés visuelles du quo­ti­dien à tra­vers le por­trait, le pay­sage et la nature morte.

La lumière ici enlu­mine le mys­tère du quo­ti­dien dans la pro­fon­deur de moments élé­gants ou tendres .“Comme pour le por­trait, j’ai décou­vert que l’essence et le carac­tère du ter­ri­toire et le lien intime avec ce qui se trouve devant mon objec­tif sont d’une impor­tance pri­mor­diale.”, écrit celle qui — grâce à de nom­breuses visites avec sa famille élar­gie après le départ de mes grands-parents de Naples — trouve dans l’Italie un fil conduc­teur constant des images de ce livre.

Au moyen de son appa­reil impres­sion­nant et intri­gant, cela lui per­met de pho­to­gra­phier de manière lente et médi­ta­tive pour ampli­fie la nature mys­té­rieuse de la création.

jean-paul gavard-perret

Regina DeLuise, The Hands of My Friends, édi­tions Saint Lucy Books, 2024, 224 p. — 50,00 €.

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