Aile visse
(Tristan Tzara) Voici ce langage qui me fouette entre les mains du temps : je parle car je suis seul. Je parle qui me parle. Je ne suis qu’un petit bruit ou plutôt j’ai plusieurs bruits en moi, ignorés des êtres pressés courant avec leurs mots autour de la mort qui étend ses bras sur le cadran de l’heure. Post Views: 46