Joë Bousquet, Mallarmé le sorcier
Un poète pour universitaires ? C‘est en 1948 que Joë Bousquet écrit pour la revue « Les Lettres » une étude ou plutôt un brûlot où l’auteur passe de l’admiration à la haine face à celui qu’il nomme “le sorcier de Tournon”. Certes, le sacripant du quartier Saint Lazare résiste. Il n’empêche : l’auteur dézingue l’idole et réduit à néant les prétentions du maître. Post Views: 36