Sandrine-Malika Charlemagne, La petite ouvrière métisse
Affres de l’Origo C’est le désarroi qui fait écrire Sandrine-Malika Charlemagne. Celui des perdus et le sien. Car elle a connu elle aussi les jour blafards, d’une cage d’escalier où passer la nuit, « au dernier étage à l’abri des regards ». Elle a vécu les petits matin dans la ville animée déjà par les pas sourds des travailleurs. Post Views: 60