John Banville, La Mer (2)
Ce roman est un tour de force à la Flaubert, un chef- d’œuvre sur rien, sur la nostalgie d’exister… servi par une langue admirable J’ai eu la chance d’assister à la conférence que John Banville a donnée au centre culturel des Irlandais début mars à l’occasion de son passage express en France pour la sortie de son dernier roman chez Robert Laffont, La Mer, qui lui a valu le Booker prize 2005. Ce soir-là, à son pupitre, devant une soixantaine…