Ulrich Kölher, In my room
Robinson et sa Vendredi Le film est l’histoire du quotidien d’un perdant qui transforme son échec en une magnificence imprévue. Un changement intervient dans sa vie et dans le film presque à mi-parcours. La narration devient une fable profonde et dépressive (mais drôle) et touche à une tonalité étrange. Au bout de quarante minutes, elle paraît – et pour cause – déroutante : n’y demeurent au monde que la dernière femme suffisamment blessée pour ne pas désirer le repeupler et le dernier homme…