Archives de
Tag: Gilbert Bourson

Gilbert Bourson, Plancher du ciel

Gilbert Bourson, Plancher du ciel

Quand tout s’ébroue Cette (judicieuse) collection met en lumière ce qui forme l’univers périphérique d’un auteur et sa fabrique de textes. Bourson y règne ici en maître. Le plaisir de son écriture est un ravissement et ce, en utilisant « accessoirement » son prurit (léger) de l’égo, sa trajectoire existentielle, ses rêves et ses « explication de textes » d’écrivains incontournables. Mais il est d’abord un regardeur ailé dont sa prose se fait lutine. Si bien qu’un simple lac est…

Lire la suite Lire la suite

Gilbert Bourson, Chine

Gilbert Bourson, Chine

Nuits de chine A ceux qui pensent comme le narrateur que leurs facultés sont affaiblies ou relâchées et qui ne trouvent plus d’objets assez déterminés et fixes pour s’y attacher fortement et qui manquent de vigueur, il est conseillé de nager dans le chaos d’un tel livre où les idées ne sont presque plus que des sensations, et où l’entendement passe par divers objets, des êtres douteux et un travail littéraire qui ondule sur l’étang d’un imaginaire qui n’a rien…

Lire la suite Lire la suite

Gilbert Bourson, Le ciel n’écrit rien

Gilbert Bourson, Le ciel n’écrit rien

Pépites dans le coron Ecrire, pour Gilbert Bourson, « C’est ma façon de dire non les choses mais mes impressions ». Après Anellemâlités chez le même éditeur, son nouveau livre scénarise d’entrée l’écrivain au travail, « pris les doigts dans le clavier » pour avouer le prétendu calvaire de celui qui voit la poésie comme l’incipit entre l’homme et les faits. Post Views: 47

Gilbert Bourson, Anellemâlités

Gilbert Bourson, Anellemâlités

Ouvroir d’éternité Par ses révisions des contes en un bain de houle et son carbone actif, Bourson témoigne d’une belle santé plus érotique que simplement grivoise. Léda et le cygne qui lui fait signe comme le Petit Chaperon dont le Loup éclate le pot deviennent les héros d’histoires où le « sangsuel » compte beaucoup afin que le rouge soit mis. Post Views: 26

Celui qui ne sait pas d’où il vient : entretien avec Gilbert Bourson (Phases)

Celui qui ne sait pas d’où il vient : entretien avec Gilbert Bourson (Phases)

Sous un aspect faussement dormant, dans sa masse impressionnante, l’écriture  de Gilbert Bourson fait des vagues. Des vagues de vagues. Comme si tout se transformait en un film asymptotique. Il  mélange temps et époques. Pas besoin de pellicule pour une telle production : les mots suffisent afin d’exprimer le désir de n’être ni enfermé ni retenu. Post Views: 70