Franz-Olivier Giesbert, L’Américain
Dans un style tiré au cordeau, Franz-Olivier Giesbert trace le portrait d’un père à la personnalité roide comme une trique Dans un style conventionnel, tiré au cordeau, d’où rien ne dépasse ni dans un sens ni dans un autre, Franz-Olivier Giesbert trace le portrait d’un père à la personnalité roide comme une trique. Mon père m’a volé mon enfance, lance l’auteur-narrateur, et cela résonne, tel un gong. La violence s’affiche avec ses traits mesquins qui donnent à voir une première…