Patrice Maltaverne, Débile aux trois quarts
La puissance du feu Il reste dans ce texte bien plus qu’un bon quart de lucidité à son auteur. Maltaverne y fait la preuve de ses intempérances poétiques publiées d’abord dans divers revues (« La belle-mère dure », « Microbe », « La Feuillue hivernale », « La Tribune du Jelly Rodger » entre autres). Datés de 10 ans, ces textes conservent toutes leurs puissances de feu. Post Views: 41