Claudio Magris, Classé sans suite
L’utopie parfaite Explorer l’histoire du monde, c’est parfois réinventer un musée disparu pour ne pas seulement écouter les plaintes de ceux qui y auraient été évoqués ou de ceux qui auraient pu s’y perdre. Dans Trieste la folle, Claudio Magris dessine le corps d’ombre de ce morceau d’Europe et plus particulièrement d’un de ses sillons de nuit qu’il creuse dans la réalité comme dans l’imaginaire. Post Views: 44