Michel Falempin, Affaires de genres et autres pièces de fantaisies
Michel Falempin diaphane Diogène J‘ai découvert Michel Falempin avec son premier livre L’écrit fait masse (1976) grâce à l’éditeur Henri Poncet. Je n’ai jamais quitté cet auteur discret et explorateur de la littérature et de ses arcanes. Il est sans doute trop orfèvre pour devenir le chouchou des critiques eux-mêmes. Ils ont fait trop souvent l’impasse sur des livres qui – comme celui-ci – se nichent moins au sommet des statues médiatiques que dans les soubassements de l’humain et de…