Janelle Monae, Dirty Computer
Le féminisme édulcoré de Janelle Monae Dirty Computer est le parfait exemple de la production black US. L’album est empreint de la provocation douce d’un R’n’B aseptisé en ses sonorités et d’un rap parfois violent en ses termes. Le tout non sans qualité « plastique» et harmonique. Parfaitement produit, l’opus se voudrait afro-futuriste et innovant. Mais cela reste plutôt léger et noyé sous un amas de guest-stars en casting (de Prince post mortem, Brian Wilson, Ravit, Wonder, etc.) Post Views:…