Roger Caillois, Êtres de crépuscule
Roger Caillois : tendre est la nuit ou tout doit disparaître Le discours sur l’ineffable resta chez Caillois aussi central que celui qu’il proposa sur la matière (les pierres entre autres). Face au rationalisme et ses catégories herméneutiques, il mobilise une vision sinon nocturne du moins proche de l’obscurité en rappelant que l’être humain demeure préhistorique tant sa peur de la nuit demeure. D’ailleurs, toute l’histoire des arts et des littératures en a fait un territoire à explorer, un territoire…