Elisabeth Jacquet, Mon mari et moi
De l’amour Au moment où un mariage sur deux finit dans le caniveau (cela n’empêche pas hétéros et homos d’y sacrifier à l’appel de dragées hautes et autres danses des canards), Elisabeth Jacquet, de manière ludique, amoureuse voire morale, crée un appel à cette norme. Certes, la poétesse sait combien tout mari – quels qu’en soient son prénom et ses marques d’amour – restera toujours « autre chose » qu’un époux. Post Views: 37