Nja Mahdaoui & Moëz Majed, Gisants
L’éternité transparente Dans la beauté des « Gisants » et au fond de leur absence, l’absence elle-même est donnée comme présence absolue. Le mot absolu est ici à sa place puisqu’il signale la séparation éprouvée dans toute sa rigueur (l’absolument séparé). L’écriture de Moëz Majed y est l’espace de la mort. La calligraphie de Nja Mahdaoui celle de la vie. Celle-là consacre le point où elle met l’accent sur l’épreuve de son impossibilité. Et ce jusqu’au moment où non à…