Maxime H. Pascal, L’usage de l’imparfait
Addictions et apories de Maxime H. Pascal De sa chambre, comme un De Maistre, Maxime H. Pascal fait surgir l’ombre (surtout) et la mince lumière du monde dans une étrangeté magique. Le langage ose non des raccourcis mais des cassures perceptibles afin que reste subtilement visible le montré/caché. A l’imaginaire d’imaginer encore les mots qui « manquent ». Post Views: 42