Annie Cohen, Puisque voici l’aurore
Un souffle effleure l’orchidée Le fleuve abondant des mots des premiers livres d’Annie Cohen chez le même éditeur (dont L’édifice invisible) tissaient une dentelle poétique étrange avant qu’arrive l’A.V.C. en 1999 qui handicapa la créatrice. Néanmoins, l’écriture lui servrira de bouée de corps toujours vivant et de planche de salut. Voire bien plus. Post Views: 6