Una costilla sobre la mesa : Padre (Angélica Liddell)
Enchevêtrements symboliques Un chant espagnol de longue plainte. Un brancard, recouvert d’un drap (un linceul). Autour, une jeune femme fait les cent pas. Sur fond noir, la représentation de deux mains gigantesques domine la scène, annonçant un questionnement métaphysique. Angelica Lidell s’interroge sur la folie de son père, sur les rapports avec le néant dans lequel désormais il siège. Post Views: 49