Ludovic Degroote, La Digue
Ce qui suit son cours C‘est par la forme fragmentée de courts blocs, pans et bouts que ce livre tient. Il retient par la liaison qu’il fait entre expérience du corps marchant dans un paysage et l’expérience intérieure de la quête de soi. Les mots sont simples pour décrire une méditation rare. La « digue » devient le seul paysage où un homme marche, comme un personnage de Giacometti, et pour se fatiguer lui-même. Nulle rêverie : le lieu est…