Francis Ponge & Philippe Sollers, Correspondance 1957-1982
Les affinités électives C’est « parce qu’il y a des choses moins difficiles à écrire qu’à dire », comme le souligne Sollers dans une de ces lettres, que cet échange entre deux auteurs d’exception est passionnant. En tant qu’aîné, Ponge fut en quelque sorte un des maîtres de l’auteur de Paradis eu égard à leurs affinités littéraires. Mais bientôt les rôles vont d’une certaine manière se renverser, ce qui ne changera en rien l’estime et l’amitié qui court sur une trentaine d’année…