Florence Pazzotu, Frères numains (discours aux classes intermédiaires)
Quand la poésie mélenchonne Au « sale savon » (Prigent) de la poésie, Florence Pazzuto préfère le consensus facile et sans double piste. Ses effets rhétoriques ruissellement de factice. Le processus sonore – cher aux tenants des éditions Al Dante – enchaîne plus qu’il ne déchaîne dans une « bonne » parole sans tension mais huilé d’évidences. La poétesse qui redevient « djeune » s’époumone à bon compte : « vous entendez, ça gronde, ça bombe le torse, ça tape…