Sandrine Collette, Et toujours les Forêts
Une formidable conteuse Après la solitude en une cave dans Des nœuds d’acier, celles des grands espaces dans Six fourmis blanches ou Il reste la poussière, Sandrine Collette frappe fort et imagine la fin du monde. Elle ne dit rien sur les causes, elle donne simplement les résultats visibles, les conséquences du cataclysme. Tout a brûlé, tout est toxique. Post Views: 37